Explication symbolique de la devise et des Armoiries de Monseigneur Robert CISSÉ

• Généralités sur les Armoiries
• Le Blason
Le chapeau (chapeau de sinople) plat à larges bords de couleur verte, accompagné d’une cordelière à six houppes de chaque côté encadrant le blason, surplombe l’ensemble de la présentation. C’est l’insigne le plus commun à tous les Évêques.
Le chiffre 12 qui a une signification symbolique évoque le nombre des Apôtres choisis par le Christ et rappelle la fonction apostolique de l’Évêque, ainsi que l’autorité du Saint-Père à laquelle il est soumis. Les Archevêques ont un chapeau de sinople accompagné d’une cordelière à dix houppes de même.
• Les Spécificités
Sur l’écu, il y a des symboles qui se réfèrent à des éléments qui ont marqué la vie et le ministère de Monseigneur Robert. Ces armoiries, dans leur ensemble de présentation classique, sont généralement identiques. C’est à partir du cadre général que se trouvent les spécificités, qui sont expliquées ici. Les figures qui sont placées sur le champ de l’écu font référence au peuple sénoufo et par extension à tous ceux et toutes celles qui ont le goût de l’effort, qui cultivent la volonté de persévérer dans l’effort, qui n’abandonnent pas facilement face aux difficultés. Il s’agit de ceux et celles pour qui, « persévérer », c’est continuer de faire ou d’être ce qu’on a résolu de faire dans la confiance, par un acte de volonté toujours renouvelé, et ce malgré les difficultés. C’est aussi aller de l’avant avec détermination face à l’adversité, être tenace, ne pas baisser les bras. Persévérer, c’est en grande partie surmonter les obstacles.
• La daba
La daba est un instrument de travail utilisé par le Sénoufo pour labourer son champ et sa rizière. C’est l’instrument des hommes vaillants, braves.
La daba est le symbole de l’ardeur au travail, de la ténacité, de l’endurance, du courage, de la détermination et du succès.
La bravoure d’un homme se reconnait par la daba. Elle est utilisée pour faire des buttes, le labour plat. Ces gros travaux demandent de la force et du courage. Elle symbolise ici le travail que l’Évêque fait pour que l’Évangile germe et produise des fruits de vérité dans le cœur du peuple de Dieu.
• La Parole de Dieu
Le livre des Évangiles ouvert nous révèle le Mystère de Dieu et la Personne de Jésus-Christ « Lumière du monde », s’applique à l’Esprit Saint et à la condition du disciple. Comme disciple l’Evêque, avec son peuple, est appelé à vivre selon la Vérité de l’Évangile, c’est-à-dire, vivre « dans la liberté de l’Esprit ».
• L’Alpha -A- et l’Omega -Q-
L’Alpha et l’Omega sont la première et la dernière lettre de l’alphabet grec.
La formule sert à indiquer la totalité, l’entièreté. Elle renvoie aussi à quelque chose de complet. L’Alpha et l’Omega sont des vecteurs de méditation sur Dieu, l’homme et sa destinée ultime. « Je suis l’Alpha et l’Omega, le premier et le dernier, le commencement et la fin » (Ap 22, 13).
Les signes désignent le Christ, Principe et Fin de toute chose. L’Alpha et l’Omega, c’est la Vérité de l’Évangile, c’est-à-dire de Jésus-Christ, Lumière qui enveloppe toute la vie, depuis le commencement jusqu’à la fin.
• La devise : « Evangelii Veritas »
Une Devise est choisie et adoptée pour la vie. La devise de Monseigneur Robert CISSÉ est écrite au bas des armoiries et en latin, la langue officielle de l’Église catholique. Cette devise exprime la façon dont notre Archevêque entend vivre la mission qui lui a été confiée. Elle constitue de ce fait un projet pastoral diocésain, une feuille de route qu’il veut proposer comme chemin pour accompagner son peuple à l’écoute du Christ pour vivre et annoncer joyeusement la Bonne Nouvelle.
«Evangelii Veritas » Cet écriteau sur la bande est l’expression latine de la
« Vérité de l’Évangile ». Comme dit l’Apôtre : « Nous ne falsifions pas la Parole de Dieu. Au contraire, nous manifestons la Parole de Dieu, la gloire du Christ dans la splendeur de l’Évangile… Trésor que nous portons comme dans des vases d’argile » (Cf. 2 Co 4, 2.4.7).
• La Croix
L’écu est posé sur une croix de procession à double traverse. La Croix fait généralement partie du cadre des Armoiries mais elle est hautement significative. Le mystère de la Croix baigne notre vie de Chrétien et de Pasteur.
« Dieu ne communique jamais la sagesse mystique sans y joindre l’amour
par lequel il se répand », Saint Jean de la Croix. La Croix s’implante dans notre terre, « afin que la vie de Jésus, elle aussi soit manifestée dans notre corps » (2 Co 4, 10). La Vérité de l’Évangile, c’est aussi la Croix. L’écu est posé sur une Croix de procession à une traverse.
Mot du nouvel Archevêque
« Parti de Bamako pour y revenir »
Ce sont ces paroles qui m’animent et retracent ma vocation et ma mission sacerdotale depuis les premières années de ma vie, d’abord à Hamdallaye où je suis né et au Badialan où j’ai reçu le baptême, jusqu’à ces dernières années de formateur au grand séminaire en passant par les années scolaires à Sanzana dans le diocèse de Sikasso, le temps de formation dans les séminaires, et la pastorale. Sur ce chemin du « partir » de Bamako et du « revenir » à Bamako se trame et se réalise ma mission.
Le Seigneur, dans sa miséricorde, m’a choisi pour être Pasteur de son Église-Famille de Dieu qui est à Bamako. Que son nom soit béni !
Dans ma nomination, je note trois éléments essentiels :
1. Une Confiance
Une confiance dans la gestion des mystères du Christ, dans le gouvernement de l’Église et dans l’accompagnement du peuple malien.
2. Un appel
Un nouvel appel à toujours approfondir le sens de ma vocation et de la mission dans l’Eglise… à marcher sur les pas de Jésus-Christ comme mes prédécesseurs; à porter permanemment les soucis de l’Église du Mali et de la Nation malienne.
3. Un défi
Un défi pour gouverner le peuple de Dieu dans l’esprit missionnaire, la sagesse, dans une attitude de sentinelle et d’intercesseur comme mes prédécesseurs : Monseigneur Paul Marie MOLIN et Monseigneur Pierre LECLERC, tous deux Missionnaires d’Afrique, les respectés et respectables Évêques, Monseigneur Luc Auguste Sangaré et Jean Cardinal ZERBO.
En 2023, j’ai invité les diocésains de Sikasso à vivre dans la vérité de l’Evangile, comme j’en ai fait un choix ; ma nouvelle mission ne se fraie pas ou ne crée pas un nouveau chemin. Ma mission se poursuit dans la même orientation pastorale et s’enracine toujours dans l’Évangile. C’est pourquoi, je lance cet appel à tous les fidèles de l’Église diocésaine de Bamako :
Marchons dans la Vérité de l’Évangile, Parlons Vrai et Agissons en Vérité.
C’est en cela, et dans cet esprit de vérité les uns avec les autres que nous pourrions témoigner de Jésus. Il n’y a pas à s’arrêter et attendre que la vie du diocèse change et se renouvelle d’elle-même. Le diocèse, c’est Nous, la vie du diocèse c’est chacun des membres qui vibrent et agissent en artisans d’harmonie et en éléments constructeurs. Que nous parlions, mais que nous acceptions d’agir pour le Christ qui est Chemin, Vérité et Vie.
Je vous invite hommes et femmes, personnes âgées et jeunes à relever le défi de la pastorale de notre Diocèse.
Les Faits et Evénements (Tiré du LIVRET-SOUVENIR de l’archidiocèse de Bamako)
6 août 1866 : Fondation de la Préfecture apostolique du Sahara-Soudan. Elle dépend du Cardinal Lavigerie, archevêque d’Alger, fondateur des Pères Blancs et des Sœurs Blanches, qui en devient administrateur.
1883 : Création du poste militaire de Bamako.
1° février 1883: Arrivée du Colonel Borgnis-Desbordes à Bamako.
5 février 1883 : Pose de la première pierre du Fort par Colonel Gustave BOR-GNIS-DESBORDES sur l’emplacement actuellement occupé par la Marie du District de Bamako, qui était alors peuplé de près 2 000 habitants, répartis en trois quartiers : Niaréla, Bozola, Tawatila ou Bagadadji.
20 novembre 1888: Fondation de Kita par les Pères du Saint Esprit, mission dépendante de Saint Louis du Sénégal.
13 mars 1891 : La « préfecture » du Sahara-Soudan devient « Vicariat ».
1892 : Monseigneur TOULOTTE est nommé vicaire apostolique du Sahara et du Soudan
Août 1897 : Fondation de Kati par Monseigneur Toulotte.
18 décembre 1897: Arrivée des Sœurs Missionnaires de Notre-Dame d’Afrique
(Sœurs Blanches) au Mali (Kati et Ségou).
19 juillet 1901: La Préfecture apostolique du Sahara est détachée du Vicariat d Soudan. Ségou demeure résidence du Vicaire apostolique du seul Soudan. Monseigneur Augustin HACQUART, Monseigneur BAZIN et Monseigneur LEMAITRE y séjourneront.
1901-1904 : Kati passe par des épreuves diverses :
1901 : Incendie de la chapelle et de la résidence des Sœurs Blanches.
1904 : Persécution administrative coloniale : les Sœurs Blanches doivent interrompre leur travail à l’Hôpital militaire de Kati.
1904 : La voie ferrée de Kayes arrive à Bamako et Koulikoro. L’administration coloniale, interdit la fondation de nouveaux postes et multiplie les vexations à l’égard des missionnaires.
1905: À cette époque, un prêtre de Kati dessert Bamako chaque dimanche.
1907 : Bamako se développe grâce au chemin de fer, et à cause du transfert da Gouvernorat de la Colonie Haut-Sénégal-Niger à Koulouba.
1908 : Demande d’une concession à Bamako. L’attribution d’un modeste espace permet la construction d’une chapelle et d’un petit pied-à-terre, au lieu de l’actuel jardin « Source Vive ».
1911 : Monseigneur LEMAIRE (1911-1920), succédant à Monseigneur BAZIN à la tête du vicariat, introduit la moto au Soudan.
1916 : Création d’un tribunal pour chrétiens à Kati.
1918 : A Kati, le chemin de fer cède gratuitement des terrains à la mission, qui, une fois cultivés, lui permettront d’augmenter ses revenus.
1919 : Création de l’école itinérante de Ségou.
1921 : Le 1 août, un décret de Rome détache le vicariat apostolique de Ouagadougou de celui du Soudan.
1921 : Bamako remplace Ségou comme siège du Vicariat, qui comprend alors le Mali actuel, le nord de la Guinée, Bobo Dioulasso et le pays Samo.
Monseigneur Sauvant (1921-1928), premier Vicaire apostolique de Bamako avec résidence à Kati.
1923 : Fondation de la mission de Bamako, qui est placée sous le patronage de Sainte Jeanne D’Arc. La première équipe affectée à cette mission est composée des Pères René Bazin (curé) et Brun et Frère Maxime.
21 février 1925 : Monseigneur SAUVANT bénit la première pierre de la Cathédrale Ste Jeanne d’Arc.
1928 : Monseigneur Paul Marie MOLIN, premier vicaire apostolique, résidant à Bamako, souci majeur : clergé africain et religieuses africaines.
17 février 1929 : Fondation de la paroisse de Faladié par le Père André TRÉCA.
1932 : Le Père Camille Cormerais entreprend la visite de 115 villages dans la région de Oueléssébougou.
14 janvier 1934: Fondation de la Congrégation des Filles Soudanaises de Marie (devenue Filles du Cœur Immaculé de Marie)
21 novembre 1934: Fondation de la paroisse de Goualala- Sœurs blanches à l’Institut Marchoux à Djicoroni
1936 : Fondation de la paroisse de Oueléssébougou
29 juin 1929 : Ordination du premier prêtre malien, le Père Prosper KAMARA à Carthage
1929 : Achèvement de la Cathédrale de Bamako.
1937 : Prise d’habit de deux premières religieuses des Filles Soudanaises de Marie. 9 mars 1937: Décret de Rome détache la Préfecture Apostolique de N’Zérékoré du Vicariat de Bamako. Elle est confiée à Monseigneur Guérin.
29 juillet1939, ordination du 2ème prêtre malien, le Père François Diallo.
1942 : Décret de Rome (9 juin) : la Préfecture apostolique de Gao-Nouna est détachée du vicariat du Soudan, et confiée à Monseigneur Lesourd qui établit sa résidence à Nouna.
1944 : Le Père BOUVIER, curé de Bamako, est choisi par Monseigneur Molin comme vicaire délégué, et directeur de l’enseignement catholique. Il est président fondateur de l’équipe de football « Jeanne d’Arc » de Bamako.
12 juin 1947: Un décret de Rome crée trois préfectures apostoliques :
– celle de Gao, séparée de Nouna et confiée à Monseigneur Pierre Leclerc
– celle de Sikasso, séparée de Bobo-Dioulasso et confiée à Monseigneur Didier DE MONTCLOS
– celle de Kayes, séparée de Bamako et confiée à Monseigneur Etienne Courtois.
1949 : Monseigneur Molin donne sa démission et se retire à Faladié, (1950) où il meurt en 1967.Monseigneur Leclerc est nommé vicaire apostolique à Bamako.
25 mars 1950 : Sacre de Monseigneur LECLERC par Monseigneur MOLIN en la Cathédrale de Bamako.
27 mars 1950 : Ordination sacerdotale de l’Abbé David TRAORE par Monseigneur LECLERC à la Cathédrale de Bamako.
1950 : Centre agricole à N’tonimba.
1951 : Fondation de la paroisse de Bougouni.
1952 : Le Père Bouvier meurt accidentellement.
– Début du Cours Jeanne d’Arc
– Fondation de la JOC au Mali par le Père Pierre LARIDAN, qui assure aussi les bases du mouvement « Cœurs vaillants-Ames vaillantes ».
6 mars 1953 : Décret de Rome portant réorganisation de la préfecture apostolique de Gao (Mopti + Sahara malien) confiée à Monseigneur LANDRU.
1954: Ordination de l’Abbé Luc Sangaré, le 12 septembre. Il est nommé vicaire à Bamako.
1955 : Construction d’un bâtiment et d’une chapelle à Missira.
Mai 1955: Fondation de la Légion de Marie à Kati et Bamako par un délégué du Conseil International.
Septembre 1955: Bamako devient archidiocèse.
21 février 1956 : Monseigneur Leclerc est installé premier Archevêque de
– Ouverture de la « librairie du foyer » par le Père Hervé DESCOURS, curé de la cathédrale. Cette librairie dont le but est de fournir des livres scolaires est rattachée à la direction de l’enseignement catholique (responsable: Père Bruno Michel).
1956 : Le Père Bruno Michel ouvre un Centre professionnel à Niaréla.
1957 : Création du secteur paroissial Badialan 2
1957 : Débuts de la JEC avec les PP Descours et Chardin
30 avril 1957 : Ordination sacerdotale de l’Abbé Julien-Marie SIDIBÉ.
1957: Notre Dame du Niger ouvre quatre classes
Octobre 1958 : Ouverture du Séminaire Pie XII.
7 janvier 1959: fondation du Secours catholique malien (SECAMA).
4 avril 1959 : ordination sacerdotale de l’Abbé Jean Marie Cissé.
1959 : Création d’un Centre d’étude de langues à Faladié
1959 : Arrivée des Sœurs de Sainte Clotilde
22 septembre 1960 : Proclamation de l’indépendance du Mali
1962 : Décrets romains portant création du diocèse de Ségou, dont Monseigneur Leclerc devient « évêque -archevêque »
– Mission « sui juris » de San
– Diocèse de Kayes, de Sikasso, de Mopti 26 mai 1962 : Ordination épiscopale de Monseigneur Luc SANGARÉ, premier évêque malien. Il succède à Monseigneur Leclerc comme archevêque de Bamako.
1962 : Fondation de la maison des Filles du Cœur immaculé de Marie à Ntomin-korobougou.
1962 : La librairie du Foyer devient Djoliba.
6 mars 1963 : Inauguration officielle du Lycée Prosper Kamara.
Janvier 1964: Inauguration du Centre Djoliba
1965 : Fondation de la paroisse de Kolokani.
Octobre 1966: arrivée des petites sœurs du Sacré Cœur.
Avril 1966: Premier pèlerinage national à Kita, 15 jours après Pâques.
Juin 1966: fondation du secteur pastoral de Lafiabougou.
1967-1968 : À Badalabougou, construction d’un foyer d’étudiants dont la salle de conférences sert de lieu de culte.
1969 : Le Père Jean Baptiste MAYTÉ est nommé secrétaire de la Conférence épiscopale.
1969 : Arrivée des Sœurs de St Vincent de Paul d’opwick.
1970 : Construction et mise en service, sur le plateau de Kati, d’un nouveau Centre d’émetteur radio.
28 juin 1970: à Kati, ordination sacerdotale de l’abbé Bernard KANÉ et ordination diaconale de l’Abbé Jean ZERBO par feu Monseigneur Luc SANGARÉ
Septembre 1970 : arrivée des Sœurs de la Charité de Saints Louis
10 juillet 1971 : Ordination sacerdotale de l’Abbé Jean ZERBO à Ségou par feu
Monseigneur Pierre Leclerc
Octobre 1971 : Ouverture du petit séminaire de Koulikoro.
8 août 1972: Convention entre le Gouvernement de la République du Mali et la Conférence Épiscopale dans le domaine de l’Enseignement.
1973 : Construction de la maison régionale des Pères Blancs à Korofina.
26-30 juin 1973 : Première Session Nationale du Laïcat.
19 avril 1975: Ordination sacerdotale de l’Abbé Jean Marie TRAORÉ à Faladié.
1977 : Ouverture du 1* Cycle de l’École Prosper Kamara.
– L’École de la Cathédrale est dotée d’un 2eme Cycle.
1978 : À Notre Dame du Niger, la Direction du Lycée est confiée à Monsieur Jean Martin TOGO15. Les Sœurs de la Charité de Saint Louis prennent la responsabilité du 2ème Cycle Fondamental et l’établissement ferme son internat.
1980 : Korofina devient secteur paroissial.
14 janvier 1984: Cinquantenaire de la Congrégation des Filles du Cœur Immaculé de Marie.
Octobre 1984 : Fondation du premier Cycle du Grand Séminaire interdiocésain
Saint Augustin, implanté à Sébénicoro, puis à Samaya en 1988.
Septembre 1985: La direction du Centre Père Michel de Niaréla est confiée aux Pères Salésiens.
11 mai 1987 : Décès de l’abbé David TRAORÉ
15 août 1987: Création de l’Organisation Nationale des Femmes Catholiques.
22 septembre 1987: Arrivée à Bamako des Sœurs de la Divine Providence de Saint Jean de Bassel.
6 août 1988 : L’abbé Jean ZERBO est nommé Évêque auxiliaire de Bamako.
19 novembre 1988 : Ordinations des Abbés Timothée DIALLO, Victor COULIBALY (Ségou) Jacques DIARRA, Hubert DAKOUO (San),
20 novembre 1988 : Ordinations épiscopales des Abbés Jean ZERBO et Jean Gabriel DIARRA lors de la célébration du Centenaire de l’Église du Mali.
11 février 1998 : Décès de Monseigneur Luc SANGARÉ à Abidjan.
6 août 1998 : Monseigneur Jean ZERBO est nommé Archevêque de Bamako.
25 octobre 1998 : Installation et prise possession canonique du Siège archiépiscopal de Bamako par son Excellence Mgr Jean ZERBO. (créé Cardinal le 28 juin 2017)
26 juin 2022 : Lancement officiel du centenaire de la paroisse Sacré-Cœur.
14 décembre 2022 :Nomination de Mgr Robert Cissé Évêque de Sikasso.
16 juillet 2023: Centenaire de la paroisse Sacré-Cœur.
25 Juillet 2024 : Nomination de Mgr Robert Cissé comme Archevêque de Bamako.
Publication Magnificat 2025